Interview : Singapour et ses contrastes

UNIQUELY SINGAPOUR

Le Castor : Qu’est ce qui nous a fait venir à Singapour ?

Guillaume : Nous ne l’avions pas imaginé ni même planifié quand on a réfléchi à notre voyage… C’est surtout le fait pour Delphine de revoir William (son cousin issu de germain) et sa famille qui nous a fait rajouter cette étape. Et pour moi de les rencontrer.

Le Castor : J’ai été surpris de toute cette verdure… Et vous ?

Delphine : Effectivement, malgré le fait que ce soit une grande ville. Il y a beaucoup de parcs et de réserves naturelles. De plus les immeubles ne sont pas si hauts que ça. C’est très agréable.

Le Castor : Parlez moi de votre addiction à la clim’ !

Guillaume : Avant même de parler de la clim’, il faut avouer qu’on a vite compris qu’il valait mieux marcher à l’ombre plutôt qu’au soleil….
Delphine : La clim’ est omniprésente, dans les centres commerciaux, les magasins, les restaurants, les bars et les transports en communs. Impossible d’y échapper ! Mais il faut avouer que c’est vraiment agréable.

Guillaume : C’est le serpent qui se mord la queue ! Il fait (trop) chaud, tout le monde fait tourner les clims’ à fond partout, on consomme un max, ce qui d’une façon ou d’une autre participe au changement climatique… Et au réchauffement de la température !

Delphine : Mais c’est quand même un confort (presque) obligatoire.

Guillaume…

Le Castor : Pire souvenir ?

D&G : Le temps très chaud et humide en tabarnak !

Le Castor : Le meilleur ?

Delphine : Le côté multiculturel ! Il y a quatre langues officielles (anglais, malais, tamoul et chinois). Il y a juste deux pays dans le monde ainsi : la Suisse et Singapour ! On le retrouve dans l’architecture, et surtout dans la nourriture, très abordable et hyper variée surtout dans les nombreux foodcourts.

Guillaume : Les transports en communs et les taxis sont très nombreux et pas dispendieux. Il y a très peu de voitures (hors de prix), des péages dans la ville. Et du coup aucun bouchon de circulation ! En tout cas, nous n’en avons vu aucun. C’est une ville où il fait bon se balader si on supporte la chaleur.

Le Castor : Un dernier point marquant ?

Delphine : La ville est ultra propre ! Il faut savoir qu’ici (comme au Canada), on encourage la délation, ce qui explique peut-être ce point. Il y a aussi des caméras de surveillance partout.

Guillaume : On voit peu la pauvreté, un peu comme au Japon. C'est une société très diversifiée entre expatriés, Singapouriens (qui sont à 90% propriétaire) et "workers" (venus des pays aux alentours comme la Malaisie, l'Indonésie et les Philippines).

Le Castor : Ok donc pour faire simple, cette cité-état mélange tout ce qui fonctionne bien dans les autres grandes villes, et semble très agréable à vivre. Mais elle garde aussi le mauvais côté de pousser toujours et encore plus vers une            surconsommation...

Merci à vous deux d’avoir accepté de répondre à mes questions, une première sur ce blog ! 

Vous trouverez ci-dessous une carte interactive des différents spots qu'on a visité.